MARIAGE ET REMUE-MÉNAGE À MEADOWBROOK
Mon plan parfait avait une faille : lui.
La vie m’a appris à tout contrôler.
Lui, il vit à l’instinct.
Notre colocation ? Un joyeux chaos…
Dans mon paisible village anglais où l’été sent bon le jasmin, les fraises mûres et la limonade maison, moi, Sally, 44 ans, je suis la reine autoproclamée de la to do list. Mais lorsque je décide de relancer le festival local, je suis confrontée à des obstacles inattendus, aux piques bien senties de mon ennemie jurée et à ma peur de décevoir tout le monde. Il n’en faut pas plus pour pour que je frôle la surcharge mentale.
C’est alors que débarque Oliver, 29 ans, avec son sourire un peu trop charmant, une furieuse envie de liberté et un talent pour transformer mes « non » fermes en « peut-être ».
Il ne devait rester que quelques jours. J’avais prévu de l’ignorer.
Et si cette cohabitation improbable s’avérait être exactement ce dont Sally a besoin pour lâcher prise et peut-être même retomber amoureuse ?
Une comédie romantique de l’été pétillante et feel good pour celles qui aiment les slow burn, les villages charmants, l’humour plein d’esprit et les héroïnes auxquelles on s’identifie (un peu trop).
Ce roman est le 3ème de la série « Mariage et remue-ménage » mais peut se lire indépendamment.
L’autrice excelle à décortiquer, souvent avec beaucoup d’humour, la complexité des relations amoureuses. Un roman feel-good dans lequel vous allez vous plonger avec délices, lecture addictive ! — Annie
Impossible de lâcher ce nouveau roman avant la fin. — Aurélie
Grumpy vs Sunshine inversé, différence d’âge (elle est plus âgée), slow burn, little town, colocataires
Découvre tout de suite les 5 premières scènes
Avant même de lire le roman, pousse la porte du cottage de Sally…
Et plonge dans son univers comme si tu y étais : photos, extraits, playlist, recettes…
Un lieu interactif et plein de secrets, pour plonger dans l’ambiance de l’histoire avant même la première page… Ouvre la porte du cottage de Sally, et laisse la magie opérer :
Ça leur a plu ! Ce que les lectrices en disent…
Celles qui ne cessent de courir, ne savent pas dire non, se reconnaîtront facilement dans cette histoire… Une bouffée d’air frais qui fait rêver, qui nous donne espoir et peut-être même le courage d’oser.
— Myriam
Une lecture aussi réconfortante qu’un thé bien chaud avec une touche de limonade. Merci Juliette, c’était un régal de suivre Sally et son festival de péripéties !
— Alicia
Quel plaisir de retrouver la plume de Juliette Beaufrère ! Impossible de lâcher son nouveau roman avant la fin. Une fois encore, j’ai tout aimé.
— Aurélie
C’est bien plus qu’une histoire d’amour… Chaque page était un rafraîchissement encore mieux qu’un bon verre de thé glacé en été. Attention à ne pas prendre un coup… d’amour en la lisant !
— Charlotte
L’autrice excelle à décortiquer, souvent avec beaucoup d’humour, la complexité des relations amoureuses. Un roman feel-good dans lequel vous allez vous plonger avec délices, lecture addictive ! P.S. ce roman m’a donné envie d’adopter un bon gros toutou !!!
— Annie
Un extrait du point de vue de Sally, et un d’Oliver. Rien que pour toi.
(lecture à tes risques et périls émotionnels…)
Je n’arrive même plus à arrêter mes larmes ni à penser à ce que je dois faire, à me rappeler pourquoi je ne devrais pas rester contre lui. Mais bon sang, tout chez lui me réconforte : ses bras qui m’enveloppent fort, sa chemise douce contre ma joue, l’odeur de verveine citronnée de sa peau qui flotte autour de lui, le rythme paisible de sa respiration… Comme si, après des années de tumulte, j’avais enfin trouvé un endroit où me poser. Et miracle, pour une fois, mon cerveau accepte de me laisser tranquille.
— Sally, 44 ans, fatiguée mais terriblement vivante.
Elle sourit enfin, et c’est une bouffée d’air frais. Ça me fait sourire aussi, c’est dingue à quel point c’est contagieux ! Ses yeux qui pétillent, son nez qui se plisse un peu, et là, je réalise à quel point sa présence peut transformer une journée pourrie en un truc carrément génial. Bordel. Le soleil se couche et baigne le village dans une lumière dorée. Non, mais sérieux, faut que j’arrête de me raconter des histoires : je suis totalement dingue d’elle. Elle est partout, dans ma tête, dans mon cœur, dans mon corps. Et franchement, je n’ai aucune idée de comment je vais réussir à vivre sans elle.
— Oliver, 29 ans, coloc improbable et grand cœur en vrac.
Quelques autres petits extraits…
Toute ma vie, j’ai cherché à plaire à tout le monde. Chaque décision, chaque action, c’était comme si je participais à un concours permanent pour être la plus parfaite. Et qu’est-ce que ça m’a apporté ? Rien d’autre qu’une fatigue constante et une anxiété toujours présente, prête à exploser au moindre faux pas.
Et je crois que c’est exactement le discours que m’avait déjà servi Oliver… Mince alors, il avait raison ?
Et si je me choisissais, moi, pour une fois ? Et si je vivais MA vie ? Pourquoi ce serait trop tard pour changer de direction ? Mais l’angoisse est toujours là, à me serrer ma gorge. La sécurité, c’est confortable, non ?
Oui, cette fille a besoin d’une vraie relation, un truc sérieux après tout ce qu’elle a traversé. Quelque chose de stable. Et elle n’a sûrement pas l’intention de quitter son village qu’elle adore. Moi ? J’ai un passé amoureux disons… compliqué. J’ai toujours cherché ma liberté. Je n’ai pas envie de m’enfermer dans un couple. C’est intense un moment, mais après je me barre et je passe à autre chose. Pareil pour les potes.
Je ne peux pas être en train de tomber amoureux de Sally. Ce n’est pas possible. Parce que, si c’est le cas, je vais devoir faire un choix, et ça ne pourra pas être juste une histoire passagère comme d’habitude. Elle voudra forcément plus. Et elle le mérite.
Et pourtant… je suis en train de tomber amoureux d’elle. De son sourire, de ses yeux rieurs, de son corps à se damner, de ses réflexions, de ses névroses, de ses talents cachés, de sa force, de son courage, de sa résilience. De sa tristesse aussi. J’aime tout chez elle.
Alors, je fais quoi maintenant ? Je fais quoi, ce soir ?
Je lui lance mon regard le plus glacial, celui qui vient du fin fond de l’Alaska. Quoique, avec le réchauffement climatique, c’est peut-être plus tiède qu’autre chose maintenant…
Et voilà enfin la Belle au bois dormant ! Sauf qu’elle n’a pas besoin de prince charmant. De quelqu’un qui prend soin d’elle, sûrement. Mais pas d’être sauvée ou je ne sais quelle connerie patriarcale.
Bon, j’essaye de me concentrer, mais mon cerveau a apparemment décidé de jouer à « Combien de fois je peux penser à Sally en une minute? ». Spoiler : beaucoup trop.
Peut-être que c’est le moment de faire tomber ce putain de mur que j’ai autour de moi. Eh ouais, je suis prêt à balancer mes propres règles par la fenêtre pour elle. C’est flippant, mais en même temps… Ça me file aussi un sacré frisson. Ouais, t’as raison. Peut-être que c’est ça, être vivant : se jeter tête baissée dans un truc incertain, mais carrément excitant.
— Mais où est passé ton boyfriend ? Je ne l’ai pas encore vu ce matin…
— Mon « boyfriend » ?
J’ai peur de savoir de qui elle parle.
— Oui, ce magnifique sujet de fantasme qui ne cesse de te tourner autour ? Avec ses boucles sombres, voluptueuses et sensuelles, et ce corps sculpté aussi irrésistible que celui d’une œuvre de Michel-Ange ?
Je hausse rapidement les épaules et lui tourne le dos pour ne pas montrer mon trouble.
— Une séance de méditation, ça te dit ?
Oh non. Être à moitié collée à lui, sentir son odeur fraîche de verveine citronnée, pouvoir reluquer ses muscles, et ses boucles chocolat et sa bouche pendant quinze minutes, juste en ouvrant un œil… Non, non, non, mauvaise idée.
— Je n’ai pas trop le temps, peut-être une autre fois ?
Ou jamais.
Lui, il a tout vu. La Sally brute de décoffrage. Tristesse, colère, moments où je m’effondre, il a tout encaissé. Et miracle, il est toujours là.
Mes romans, c’est le thé. Mes emails, les petits biscuits à côté.
Des confidences d’auteure, les coulisses de mes romans, des avant-premières, une vraie dose de feel good… et d’humour !
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